Les deux chefs rouges se rencontrent, au nom de l'humanité.
Sur la terre céleste il y a la voix de celui qui aime le
monde et parle pour les faibles. Le petit homme utilise la
force, il tue le printemps. Et ceux qui le suivront le
feront toujours. On parlera de fausse paix, mais les armes
seront toujours cachées. Dans le ciel voleront des hommes,
et les hommes s'enthousiasmeront. Ils devraient trembler,
parce que c'est le mal qui a conquis le ciel, pour frapper
la terre. Dieu a fui, disent-ils. Dieu est mort. Il s'est
caché dans le coeur des jeunes. Et il reviendra pour
vaincre, quand les villes et les terres se seront
elles-mêmes consumées, pour redonner valeur à la vie. Il
viendra de la terre pour détruire le ciment. Israël qui
souffres et luttes, pas moins que qui te donne l'assaut et
ne sait partager ta souffrance. Vous êtes frères, quelqu'un
vous pousse à la lutte en se tenant caché. Ici se décide le
destin du monde. Et dans le palais où s'embrassent les
États, le fugitif de la tanière est bien vivant. Du palais,
la haine pour Israël. Et ce sera un signe de ruine. Homme
qui es monté sur la lune, regarde-toi : main- tenant tu la
possèdes, mais reflétée dans une boue apparente. Heurt entre
deux jeunesses. La silencieuse vaincra et le temps travaille
pour la foi. Sur le monde qui frémit, vents chauds et
froids, tempêtes sociales. Sang sous Luther, sang sur la
terre catholique usurpée, dans les pays voisins.
( Extrait de Le Profezie di Papa Giovanni
de Pier Carpi )
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience utilisateur. Si vous continuez à naviguer sur ce site Web, vous consentez à ce que nous utilisions des témoins.